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mosson

  • Les inondations de l'automne 2014 à Palavas : Album photos

    Toutes les photos des inondations de septembre et novembre 2014

    à Palavas

    cliquez sur l'image

    ASPRI,Innodations, septembre, novembre,Palavas,lez

  • Compte-rendu de la réunion publique du 17 novembre 2014

    ASPRI,réunion publique, inondation,lez,mosson Un immense succès lors de la réunion publique d'ASPRI

    Plus de 200 personnes ce 17 novembre 2014

    Pour consulter le compte-rendu cliquez ici

    Le Président introduit les débats en montrant à la fois ce qui a bougé : les multiples améliorations de l'écoulement du pluvial comme les pompes et travaux divers à Palavas, le contrat signé entre VNF et le SIEL pour l'entretien des 24 communications entre le canal et les étangs sur 10 ans, les discussions sur le pont du Pilou ou le grau à ouvrir au Grand Travers. Mais il a insisté sur le fait que sur l'essentiel, un schéma général de la source à l'embouchure, tout reste à obtenir.

    - Pourtant dans l'enquête publique du PPRI de Palavas en juillet 2004 le Commissaire Enquêteur suggérait que "les conclusions des études débouchent  sur un plan de gestion intégré des crues sur l'ensemble du bassin versant et des étangs". Dix ans après cette bonne intention n'est toujours pas prise en compte.

    - Pourtant, si Palavas a été inondé et classé en zone de catastrophe naturelle le 29 septembre dernier aucune tempête n'a élevé le niveau de la mer, sinon TOUTE LA COMMUNE aurait été sous les eaux pendant plusieurs jours.

    - Donc c'est entre nos mains et vos mains que tout repose : seule une intervention forte peut débloquer la situation. C'est pourquoi l'ASPRI lance sa pétition qui a vocation à s'étendre à toutes les communes concernées, en liaison avec toutes les associations qui le demanderont.

    La parole est alors donnée à la salle....

  • Intervention d'ASPRI lors de l'enquête pubique SAGE - Lez-Mosson-Etangs palavasiens

    Lettre déposée au commissaire enquêteur

    dans le cadre de l'enquête publique

    SAGE Lez-Mosson-Etangs palavasiens

    remise le 6 octobre 2014

            Monsieur le Commissaire Enquêteur,

                Les orientations mises en avant dans l’enquête publique présentées par la CLE du SAGE correspondent tout à fait avec ce que nous souhaitons voir se réaliser dans notre secteur :

    • La gestion des risques d'inondation dans le respect du fonctionnement du milieu.
    • La préservation et la restauration du milieu aquatique et des zones humides.
    • La préservation des ressources naturelles.
    • La restauration et le maintien de la qualité des eaux.

    Cependant il est clair pour l'ASPRI que si nous ne partons pas de rien il reste beaucoup à faire dans de nombreux domaines pour les atteindre réellement, ce qui est le plus difficile, particulièrement pour la qualité des eaux et la gestion des risques d'inondation.

    RESTAURATION ET MAINTIEN DE LA QUALITE DES EAUX

                Il nous paraît important dans notre secteur, fragile avec son écosystème de rivières et d'étangs, la mer omniprésente et une très forte densité urbaine d'aboutir à un certain nombre de pratiques.

                - N'autoriser l'extension de l'urbanisation que si l'assainissement des eaux usées au niveau nécessaire est pleinement intégré aux PLU, SCOT et POS (pour le cas très particulier de Palavas où le maire s'obstine à refuser le PLU intégrant le PPRI). Le décalage constant que nous observons est ...

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  • La crue centennale est-elle un mythe?

    La crue centennale est-elle un mythe?

     

    palavas,pos,inondations,crues,risques,lez,mosson

         Au Conseil municipal du 11 août 2014, lors de la discussion sur le POS, document d'urbanisme qui intègre les inondations, le maire a été obligé de reprendre les conclusions du Commissaire enquêteur qui a estimé que :

         "les propositions de l'Association ASPRI devraient être étudiées en ce qui concerne le PPRI (Plan de Prévention des Risques d'Inondation), bien que cela ne fasse pas partie de l'enquête. Le PPRI date de 2004, depuis toutes les communes environnantes ont fait de très importants travaux pour se protéger des inondations. L'ASPRI demande qu'une étude soit menée sur l'ensemble des bassins versants qui envoient leurs eaux dans les étangs de Palavas. Il semblerait que les services de l’État devraient organiser la révision du PPRI dans un proche avenir".

    À notre grande stupéfaction le Maire a cru bon d'ajouter :

    "il n’y a plus de crues contrairement à l'époque. C'est comme ça. Ensuite avec tous les travaux qui ont été entrepris de détournement et de répartition des crues du Lez il n'y a plus pratiquement de risques de débordement de la rivière. D'autre part 11 bassins de rétention de grande envergure en amont avaient été prévus à l'époque mais ils vont en faire 9 bientôt."

    Nous sommes bien obligés de contredire le Maire

    qui a commis trois grosses erreurs en quelques phrases.

         L'ASPRI dispose des études scientifiques qui ont chiffré la crue dite centennale.

         Si à une longue période de pluie qui gorge les sols succède un épisode cévenol, si les crues de la Mosson et du Lez arrivent ensemble à Palavas (si elles sont décalées c'est moins grave) et enfin si une tempête élève considérablement le niveau de la mer, soit quatre conditions très rarement réunies, une énorme crue dite centennale aura lieu, avec les effets que l'on comprend.

    Une crue centennale,

    Nous ne la souhaitons évidemment pas, mais elle est POSSIBLE.

    Nier la réalité ne la changera pas.

         Laisser croire aux Palavasiens que les déversoirs les protègent des crues est dangereux.

         Toutes les eaux du Lez détournées ou pas aboutissent TOUTES dans les étangs Palavasiens et donc à Palavas.

         Ajoutons qu'avec la diminution des zones d'infiltration et d'épandage il y en aura beaucoup plus.

         Les seuls bassins de rétention prévus aujourd'hui sont ceux que la loi oblige à réaliser lorsque se construit une nouvelle urbanisation pour retenir 100 litres d'eau par mètre carré urbanisé (uniquement ruissellement). Cela n'a rien à voir avec des bassins de rétention qui réguleraient la crue en amont. Inventer des bassins de rétention des crues qui n'existent pas même à l'état de projet (et qui sont demandés par l'ASPRI) endort les Palavasiens dans une fausse sécurité.

         Par la suite le Maire de Palavas est revenu à des considérations plus réalistes. En contradiction avec ses propos antérieurs qui niaient la crue, il a fait mine de souscrire à certaines demandes de l'ASPRI comme les portes sur les graus.

    C'est reconnaître indirectement

    que des crues majeures sont possibles.

         Mais les Palavasiens comprendront que l'ASPRI ne puisse laisser passer sans réagir à des propos qui supposent que RIEN ne sera fait par la commune pour lutter contre les crues majeures.

         Nous demandons au lecteur de se référer au schéma général de l'ASPRI qui comporte des travaux importants sur la commune (La réfection des passes entre le canal et les étangs, une évacuation en tuyau sous l'Avenue Saint Maurice et la D486, des portes aux canalettes et au Grau du Prévost et aux 4 canaux).

         Rappelons que ces travaux ne sont pas financés par la commune mais par voies navigables de France, le Département, la Région, les Agglos, l’État.

    Mais si le maire ne demande rien,

    il n'aide pas à la réalisation de nos demandes,

    c'est le moins qu'on puisse dire.

    Ci joint :

    Extrait de la note de synthèse du Conseil municipal du 11 août 2014 concernant le point 9 : approbation de la modification du POS : 5ème modification du Plan d'Occupation des Sols (cliquez dessus)

  • Contribution de l'ASPRI à l'enquête publique concernant la 5ème modification du POS

     Contribution de l'ASPRI à l'enquête publique

    concernant la 5éme modification du POS

    de Palavas-les-Flots

    (2 folios agrafés et déposés le 02 juillet 2014 en mairie)

    L'ASPRI considère que les risques d’inondation ne sont pas réellement pris en compte dans cette modification. Ajouter un étage ou non n'est pas un probleme pour l'ASPRI.

    Par contre le POS ne met pas en avant la situation très particulière de Palavas-les-Flots qui reçoit TOUTES les eaux qui ne sont pas infiltrées, directement ou indirectement ....

    Lire la suite du document déposé - clic ici